oui j'ai le télé loirsir je vous recopie l'intervieuw car pas de scan!!
T.L : Peut on parler de coup de fourdre pour Greg?
LN: Ah, oui!!dès sa première télé. Aucune interprétation de SOS...ne m'avait touchée depuis Daniel Balavoine. Je ne savais pas qu'il était malade, j'ai été frappée par son angélisme. Pour moi, sa voix devait être le reflet de sa personnalité.
T.L: Il y avait un plaisir particulier à chanter avec lui?
L.N: évidemment, il faisait ce qu'il voulait de sa voix! Les rares fois où il ne mettait pas sa note exactement là où il le désirait, ça l'énervait profondément. Sur scène comme dans la vie, il allait à l'essentiel. ce qu'il avait à offrir, c'était sa sincérité, son coeur.
T.L:Vous avez reçu des messages de sympathie de vos propres fans...
L.N: Le jour ù il est parti, je donnais un concert en plein air. j'avais les yeux éclatés tellement j'avais pleuré, je me suis demandé comment j'allais faire. Je l'ai epliqué au public. il y avait déjà des pancartes levées "Grégory on t'aime" et "Hélène on est avec toi".
(quel souvenir pour moi...très triste...)
T.L: La connaissance de la maladie de Grégory a-t-elle joué dans la perception qu'on avait de l'artiste?
L.N: De son vivant, oui, sûrement. il y a toujours des petits malins por dire qu'on a fait gagner la muscovidose. Grégory représentait et représente encore l'espoir de tant d'enfants et de personnes malades. Il faut absolument continuer à récolter des fonds et travailler sur la recherche.
T.L: Qu'est ce qui vous vient à l'esprit quand vous pesez à lui?
L.N: Son visage, son sourire, les bêtises qu'ils pouvaient sortir dans les moments difficiles, son courage. Parfois, j'en souris, parfois, j'en pleure. Et puis ce qui est rare dans ce métier je ne l'ai jamais entendu critiquer quiconque.
voici